Journée d’attente

Dimanche 12 Mars 2012

Dès 9h, Michel est allé acheter les billets pour la Grèce. Nous embarquons ce soir à 20 H, c’est parfait. Sur le port, c’est l’enfer, un vent glacial fait pencher Pépère comme un voilier au mouillage. Nous décidons de visiter Bari, et là, c’est la surprise, le vieux Bari est très pittoresque. Nous passons une très bonne journée agrémentée d’un excellent plat de pâtes aux fruits de mer.

En route pour BARI

Après une bonne nuit au camping « Spartacus » de Pompéi, Michel propose de faire une nouvelle visite du site et de partir demain pour arriver à Bari dimanche soir. Marilou fait remarquer que nous somme déjà dimanche, (Michel n’a déjà plus la notion du temps, ça promet !!). Nous partons dès 13 h, l’autoroute est sympa, de beaux décors et des champs d’oliviers à perte de vue. Aucune réservation n’étant faite sur le ferry pour la Grèce, nous pensons qu’il serait bien d’être sur place de bonne heure lundi matin. Finalement, nous allons dormir sur le port, prêts pour le départ. Aux dires des gardiens, il nous suffira d’acheter nos billets demain et d’embarquer. Tout ça nous parait bien simple, mais on verra…

Descente de l’ Italie

Grande descente de l’Italie’ 631 Km, Marilou a pris le camion pour la descente sur Gene, mais,avec nos XXl tonnes, le vent violent et les tunnels, ce ne fut pas une partie de plaisir, car , il est vrai que sur autoroute, lorsque ce n’est pas plat et droit, il faut prendre le coup!

Merci à Juju pour sa sélection de musique des années 60-70, elle nous a accompagnés pendant toute la journée, demain, on passera à celle de Michael,

Ce soir, nous nous posons face à un joli petit village à 175 Km de Pompéi

PREMIERE JOURNEE

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Après un départ vers midi, suivi de nombreux « au revoir » émouvants, nous avons déjà 360 Km au compteur, direction Pompéi.
Pour l’instant, nous tenons nos résolutions, nous avons cherché un endroit pour dormir avant la nuit, il est vrai que c’est plus rassurant. Après avoir manqué de peu l’ enlisement, nous sommes très bien installés pour la nuit au bord d’un chemin de terre