Le lac Guinas

 

Finalement, nous ne verrons pas Marianne et Bernard pour l’instant, ils sont trop loin. La journée est consacrée à Pépère.

Eh oui, nous avons déjà dépassé les 5000 km, il faut faire la vidange. Toyota est à 200 mètres du camping mais ne peut nous prendre avant demain. Finalement, il accepte le rendez vous cet après midi vers 15h.

Le petit futé fait état de deux lacs pas loin d’ici, le second, le Guinas, est dans un environnement plus agréable,.

Alors, on y va !

Une fois sur place, le chemin est barré par des rondins de bois. A 300 mètres, une famille nous indique qu’il faut finir à pied.

Nous retournons au chemin et commençons la descente à pied.

Vite, nous nous apercevons que nous ne serons pas seuls, la jeune fille qui nous a renseignés, suit de loin avec une ribambelle de gamins.

Ouahhh ! C’est super beau.

En fait, ce n’est pas un lac, mais un gouffre rempli d’eau claire, vraiment très claire…

Il est même possible de prendre les poissons en photos sans se mouiller.

Ces petites bêtes font aussi partie de la faune du plan d’eau.

Nager là, sans savoir ce qui vit dans les profondeurs (100 mètres) n’est pas naturel. Michel demande à notre nouvelle bande de copains si  l’on peut se baigner sans danger.

Oui, mais personne ne se baigne sans rester accroché à la barre de fer. C’est louche…

Soudain, un plus grand arrive et se jette à l’eau.

C’est notre feu vert alors Michel se mouille le premier.

 Marilou un peu plus impressionnée, finit par le rejoindre.

Nous restons un bon moment dans cette eau très bonne et aussi claire que dans l’océan Indien.

Génial ! Vraiment, c’est l’agréable surprise de la journée.

Tout ce petit monde nous accompagne sur le chemin du retour, où l’un des jeunes Bushmen nous fait profiter de quelques baies sauvages au goût sucré.

En haut, la maman est là pour recompter ses 10 enfants, oui, ils sont tous là (pas sur la photo), aucun n’a disparu dans le grand trou bleu.

Distribution de savons et direction  Toyota à 50 km…

Nous comprenons vite pourquoi ils étaient complets ce matin, ce superbe garage n’est pas capable de faire les papiers pour une vidange, ( le travail et la facture: 2H30)…

Un peu cher, mais le travail semble bien fait. Michel est un peu inquiet tout de même car l’an dernier, chaque passage au garage occasionnait une nouvelle panne. On croise les doigts car jusqu’ici, Pépère fait un sans faute.

La soirée se termine dans notre camping favori d’hier soir et Marilou trouve encore le moyen de prendre un drôle d’animal « féroce » en photo: Ce Suricate en plein repas

Tsumeb

 

Finalement, nous avons encore passé la nuit avec nos amis au bord d’un chemin.

 Ce matin, en rejoignant la ville à 15 km, nous rencontrons le propriétaire du land (avec André sur la photo en titre) qui a partagé depuis la France, le container de Bernard. Bernard et Marianne sont deux amis que nous avons connus en Mongolie et nous devons faire un bout de chemin ensemble aussi.

Ils sont  arrivés bien après nous et nous n’arrivons toujours pas à faire coïncider nos routes. Espérons que ce sera bientôt le cas.

C’est à nouveau les aux revoirs, avec le propriétaire du Land en plus sur la photo.

Puis, ce sont 200 km de route monotone qui nous amènent à Tzumeb.

La ville est très sympa, nous flânons dans la rue commerçante.

Nous sommes ici juste pour essayer de joindre Bernard, au cas où il ne serait pas loin.

En tout cas, le camping de la ville est grand confort, pour 20€, nous avons accès à tout le nécessaire et même au superflu…

Cette piscine juste pour nous. 

Trois jours dans la réserve d’Etosha

 

Peu après 6h, nous sommes encore couchés quand Marilou voit par la fenêtre, Mireille et André arriver.

Comme prévu, ils ont préféré attendre le jour pour terminer la route. Manifestement, ils ont des histoires à nous raconter.

Ils parlent un peu tous les deux en même temps.

On s’est fait arnaqués…

-Pour changer la cosse de la batterie, plus un fusible (fourni par nous) ils nous ont demandé 950 Dollars Namibiens… On a dit NON !

Finalement, la discussion s’est terminée à 450… c’est encore cher pour le travail…

Pendant ce temps, ils ont volé notre téléphone.

Un peu plus loin, on a crevé pour la troisième fois !!!

Et à la barrière sanitaire, ils nous ont demandé de cuire notre viande.

– Comme nous !

Finalement, c’était trop difficile de conduire la nuit alors on a dormi là bas.

En effet, on les a laissés une après midi, mais ils en avaient vraiment beaucoup à raconter.

Voilà, aujourd’hui est un autre jour, nous partons  dans la réserve d’Etosha.

Avant, il faut faire du gasoil à l’entrée.

André vient nous voir, la tête un peu défaite.

– C’est vraiment trop pour le petit vieux !

-Qu’est ce qui t’arrive ?

« J’ai encore crevé… »

C’est la quatrième fois, il a raison, c’est dur. Ses pneus ne sont vraiment pas adaptés.

Allez, on ne se démoralise pas, la roue changée, c’est parti (avec une roue de secours pour deux) pour la visite d’Etosha dont on nous dit que c’est le plus beau parc d’Afrique Australe. Oui, mais on a l’habitude, sur les guides, tout est toujours le plus beau où nous sommes. Fatalement, il y a de l’exagération.

Pendant ces trois jours, nous avons la chance de croiser une grande variété d’animaux dans les scènes de leur vie courante.

Un point d’eau répertorié dans leur tête.

Pour boire, il faut vraiment avoir soif…

Quand les éléphants sont là, tout le monde dégage…

Ils savent aussi être tendres.

Qu’il est mignon…

On le cherchait, le voilà. Il est superbe…

Lui, guette depuis son arbre.

Eux aussi du haut de leur « promène couillons »….

L’aigle serpentaire, reste au sol :

La sieste, bien à l’ombre

Si si, on t’a vue !

Cette lionne fait semblant de rien, mais elle cherche un repas.

Ces gnous ne se laisseront pas faire…

Qu’est ce qu’ils sont gros !!!

Le soir, nous restons dans les camps fermés et Marilou reste tard autour des points d’eau éclairés la nuit. Le dernier soir, elle a eu le plaisir d’assister à des scènes d’intimidation entre rhinos et à la venue d’un lion avec sa lionne. Tant pis pour Michel qui avait sommeil.

Encore quelques photos de plus ….

Oui, c’est un joli parc mais tout dépend ce que l’on y cherche. D’autres moins faciles d’accès restent plus sauvages encore.

Le dernier soir, un repas en commun marque la fin de notre association avec Mireilles et André qui partent dans une autre direction que nous demain.

 

A la porte d’Etosha

 

Ce matin, André est encore en panne, finalement, la bidouille d’hier n’a fonctionné que par hasard.

Il semble que ce soit les bougies de chauffe qui ne sont plus alimentées.

Avec un fil provisoire, le Toy redémarre.

Nous partons à la recherche du lac non trouvé hier, malgré 12km supplémentaires sur la piste, il semble que le lac soit à sec…

Penauds, nous reprenons la route d’Etosha avec une halte à Ondangwa pour faire les provisions au supermarché.

Il est bien achalandé mais le passage à la caisse est un peu laborieux.

Pour la suite, Mireille et André restent en ville pour faire voir le Toy pendant que nous partons en éclaireurs à la réserve; à 190 km. Il est convenu que nous nous retrouvons juste devant l’entrée…

En route, la barrière sanitaire se dresse devant nous…

Mince!!! Ils vont nous piquer toute la viande qu’on vient d’acheter…

Finalement, la Madame qui officie, nous propose de garer Pépère et de la faire cuire.

-Je vérifierai! Dit-elle.

Marilou s’exécute et fait (précuire) la viande que nous avions mise dans le freezer.

Elle vient vérifier la cuisson et dit: ok, vous pouvez partir!

 À 16h30, nous sommes devant l’entrée du parc, tout paraît simple pour demain alors nous rebroussons chemin pour trouver un coin pour la nuit et attendre nos amis.

En pleine brousse Michel attrape une connexion internet avec sa clé 3G.

INCROYABLE!!!! Nous avons un mail des deux anciens, ils se sont fait voler leur téléphone et en plus ils ont crevé pour la troisième fois…. Quelle guigne…

Ils nous disent bien qu’ils vont essayer de nous rejoindre ce soir, mais nous n’en sommes pas sûrs du tout.

On aurait du rester avec eux! Dit Marilou.

Bien sûr qu’après coup, on peut toujours dire que… Mais maintenant, nous sommes un peu inquiets.

Nous les connaissons bien, ils vont certainement se coucher tôt pour arriver de bonne heure ici demain matin.

Dommage pour eux, l’endroit est très calme.

André encore en panne.

 

 

Ce matin, nous avions prévu de partir à 9h. Prévu, oui! Prêts oui! mais non partis….

André a encore la poisse, impossible de démarrer son Toy.

Michel amène ses pinces et le tour est joué. Non! Par habitude, André arrête son moteur le temps de ranger quelque chose, et il ne redémarre pas… Normal…

Re-les pinces de Michel, mais cette fois, il n’y a rien à faire…

André met plus d’une heure pour trouver la panne, en fait, croyant faire plaisir à son Toy, il a lavé son moteur au jet ce matin et le système électrique n’a pas aimé.

À 10h30, Ouf! Tout rentré dans l’ordre.

Nous ne faisons que 1.5km pour voir les chutes de Ruacana (photo du titre), elles sont sûrement très belles lorsqu’il y a de l’eau, malheureusement, ce n’est pas le cas aujourd’hui.

 Bon, maintenant, ça commence  à bien faire… Le cap est mis sur le parc D’Etosha où nous serons demain.

En route, nous faisons pour la première fois connaissance avec la police namibienne.

Ils sont supers…

Sauf que Michel a choqué  la policière. Alors que nous avons vu des gens presque nus depuis plusieurs jours, elle est choqué de le voir torse nu… C’est un Comble!

Il est vrai que l’arrivée dans L’Ovamboland change complètement la donne, maintenant, nous traversons de vraies villes africaines avec la population habillée et animée.

Nous avions bien rigolé tout à l’heure en arrivant sur ce chargement

 

Mais, les voilà maintenant toutes descendues de cette voiture bondée… Ah! L’Afrique…

 

Petit passage dans le baobab de Outapi… Le guide nous reçoit à l’intérieur. Il nous explique l’histoire de cet arbre millénaire avec ses différentes affectations: café, salle de réunions, cachette pour les enfants pendant la guerre etc.

 

Comme dit Marilou, il faut avancer. Alors, André en tête,  nous filons vers Ondangwa.

Mireille propose d’aller passer la nuit près d’un lac vu sur la carte.

Michel fait la route sur son GPS et c’est parti.

35 km plus loin, nous arrivons à destination, il n’y a pas de lac mais la nuit est bien là.

Pour le lac, on verra demain, maintenant, nous devons nous  poser. Le lieu est très retiré, en quelques minutes, nous sommes parés pour la nuit

 

 

Camping des crocodiles.

 

Nous sommes bien dans ce camping à deux sous, la décision d’y rester la journée est vite prise.

Oui, mais attention, nous comprenons vite les « warning »…

Le panneau est très clair, ici, on ne se baigne pas… La place est laissée aux crocodiles.

Après renseignements, un allemand s’est fait prendre en 2011, il n’est jamais revenu de son bain de pieds juste en dessous.

D’ailleurs,  celui de la photo à la une, nous rappelle qu’ils sont toujours dans le coin…

Dans la journée, Marilou voit à quelques mètres un gros serpent rampant juste au bord, dans l’eau, après description, Michel en déduit que c’était un python… Décidément….

La chef du camping passe un peu plus tard et elle confirme le diagnostique, le mois dernier, ils ont vu le python tuer un chien et le manger…. Brrrr!

La journée se passe avec quelques prises de photos.

Grande observation…

Et la sieste,

Le soir, c’est  l’apéro dans la nuit avec une certaine psychose avec la présence toute proche des reptiles.

Troisième jour en terre Himba.

 

Salut André, ça va?

-Merde ton pneu! T’as encore crevé?

-J’en ai bien peur!

 Pas de bol Dédé avec ses pneus, il a là une crevaison lente. La roue est laissée en place et regonflée, on verra bien combien de temps elle tiendra.

 Sur la route qui mène à Ruacana, Mireille voit une pension pour orphelins, on s’arrête et passons plus d »une heure à discuter avec la responsable. La discussion est intéressante mais assez laborieuse compte tenu de notre anglais.

Elle nous apprend malgré tout beaucoup de choses sur la vie des habitants du village voisin dont elle s’occupe avec son mari.

Ils font à la fois orphelinat et s’investissent beaucoup dans l’éducation des enfants jusqu’à 10 ans.

Ensuite, nous passons en revue, les mœurs des Himbas, des Zembas et des Héréros avant d’évoquer les dangereux cobras et mambas présents dans la région.

Puis, le moment est venu de se dire adieu.

Pas très loin, André voit une pancarte « tyre remove », il s’arrête et le travail commence..

En deux temps trois mouvements, la roue est réparée avec un matériel assez impressionnant.

Pendant l’intervention, les femmes du village ont installé leur étalage entre nos deux 4×4, ce qui aura le mérite de faire patienter ces dames

Voilà la façon dont les jeunes nous interpellent pour avoir quelque chose, et ils se dépêchent.

Ils auront quelques biscuits.

Plus loin, quelques champs de maïs

Tout au long de l’après midi, le choix d’un bivouac au bord de la rivière Kunene nous occupe, certains nous regardent passer.

A la tombée de la nuit, le panneau « camping hipopools »apparait. Super, mais, la porte n’est pas ouverte et un grand panneau « warning » nous interpelle.

La nuit approche alors, quels que soient les warning, Mireille pousse le portail pour nous faire entrer.

Un peu plus loin, il y a bien quelqu’un. Ce camping est géré par une communauté Zemba et nous sommes très bien accueillis.

 

 

 

 

Village Himba.

 

Les hommes ont bien dormi, mais les femmes ont vraiment eu beaucoup de mal avec la chaleur qui a duré tard dans la nuit

La nuit est vite oubliée, avec cette arc en ciel au début des chutes

Et ce singe aux coucougnettes bleues.

On traine encore jusqu’à midi pour un repas pris ensemble chez nous.

Et nous partons en direction de Ruacana sans savoir où nous passerons la nuit.

Pas très loin de là, André propose de prendre la direction d’un village à 8km, en fait, il est à 18km d’une piste qui inquiète Mireille, nous abandonnons 3 km plus loin pour prendre une autre piste juste à côté.

Et là, c’est le bon coup, nous nous trouvons nez à nez avec un paisible village.

Les 4×4 s’arrêtent à côté de l’enceinte et nous rentrons faire connaissance.

À première vue, il n’y a personne mais rapidement, nous trouvons,

 bien abrité du soleil un premier groupe.

Ils sont tous très calmes et vivent leur petite vie d’himbas. Le passage de touristes dans la région leur donne un peu de travail, les femmes confectionnent (à leur rythme) poupées et bijoux divers.

D’ailleurs, ici, tout le monde en porte

Et depuis le plus jeune âge.

Même l’ancien se fait beau…

Nous avons pensé qu’il était le chef… Mais on en n’est toujours pas sûr.

À propose de l’ancien, il est encore bien valide, André a cru comprendre qu’il a 80 ans.

En pays Himba, pratiquement chaque femme, a un enfant en bas âge, eh bien ici, c’est pareil.

Il faut bien trouver les bras pour aller chercher l’eau…

Comme partout, les enfants font des bêtises, celui-ci se fera disputer.

D’autres, dansent.

Le soir, le troupeau est rassemblé et abrité dans son enclos.

Nous essayons de visiter les huttes mais, bien que l’accueil soit très sympathique,  ces habitants souhaitent garder un peu d’intimité, nous les comprenons.

Vraiment, la tenue des femmes est très étudiée, en plus de leurs bijoux, la base de leur beauté tient dans la couleur rouge donnée par le passage fréquent d’un mélange de terre ocre, de beurre et d’herbes odorantes. Paraît il qu’elles ne se lavent jamais… Malgré tout, nous n’avons pas trouvé ces femmes sales ni malodorantes. Allez y comprendre quelque chose. Bien sûr, il y a une odeur qui est celle   de la senteur de l’herbe.

La coiffure aussi est jolie, de grandes tresses raidies par la  terre séchée avec les extrémités en cheveux libres telle une fourrure.

Pour remercier tout ce petit monde, nous laissons quelques sacs de riz, farine et pâtes.

Soudain, les femmes s’affairent  (toujours à leur vitesse )

et un petit étalage de leur artisanat se présente devant nous, nous achetons encore des bricoles et tout le monde est content.

17h… dans une heure il fait nuit, il est temps de laisser ces braves gens. Nous passons dire au revoir vers chaque case et nous partons sous les adieux d’une ribambelle de gamins.

Une demie heure plus tard, nous nous posons non loin de la piste. Une bonne douche froide nous fait du bien surtout après cette chaude journée où nous avons atteint les 50* …

 Fin d’une journée exceptionnelle qui restera gravée dans nos mémoires.

 

 

 

 

Epupa.

 

Comme convenu hier avec nos amis, nous montons aux chutes d’Epupa, retrouver Mireille et André.

Avant, nous disons au revoir  à Huguette  et Aldo, ils sont en Afrique beaucoup moins longtemps que nous, alors et vont aller un peu plus vite.

Marilou revient des sanitaires et voit ce que vous voyez… Horreur!

Il nous faut également passer par le supermarché, et lá, c’est quelque chose, de voir encore une fois les différentes ethnies qui vivent côte à côte

À gauche une Himba, à droite une Héréro et au milieu, une ardèchoise…

À la sortie, Marilou a du mal à ranger ses provisions au milieu de toutes ces vendeuses de babioles. Jusqu’à la mise en route du moteur, elles gardent espoir de vendre une bricole.

Bien sûr on leur achète encore quelques bracelets.

Les pleins d’eau, de gasoil faits et 150 km plus loin.

Nos amis sont là et ils se la coulent douce au milieu des palmiers.

Une bonne bière….

Et nous faisons notre premier tour le long des chutes.

C’est vraiment beau, nous ne retrouvons pas la majesté des chutes Victoria, mais toute cette eau qui coule entre la végétation, c’est vraiment extra, surtout que nous sommes seuls.

André et Michel profitent d’un petit bain pour se rafraîchir.

Pendant que ces dames papotent.

Le soir arrive, mais aucun de nous n’est pressé d’aller se coucher. Pensez donc, il fait encore 33 dans les cellules!

 

 

opuwo

Finalement, Marilou révise son jugement sur le camping. il a un coté aventure bien sympathique.

Une visite s’impose,

derrière ces branchages,

ce sont les toilettes « privatives »

et la douche. « privative »

Pour l’eau chaude, un feu de bois chauffe ce réservoir.

et pour couronner le tout, la patronne est une femme du village, en partant, nous faisons de vrais adieux

Comme toujours dans ces pays, nous sommes surpris par l’âge minimum des conducteurs…

Nous faisons maintenant route sur Opuwo, les termitières jusqu’ici bien peu nombreuses , se multiplient.

Comme prévu, l’arrivée à Opuwo est assez étonnante. Des gens très différents se côtoient le plus naturellement du monde.

Nous verrons demain la ville, le temps de refaire nos provisions, pour l’instant, nous allons camper à l’ Opuwo Country Hôtel.

Hasard des voyages, Huguette et Aldo sont déjà là. Ils nous donnent des  nouvelles de Mireille et André qui sont aux chutes d’Epupa, nous les retrouverons demain.

C’est le très grand luxe pour 17 € par jour et pour 2 !